Ce n’est pas de votre faute si vous n’y arrivez pas.

Non, ce n’est pas de votre faute si vous avez l’impression de stagner à longueur de journée,

De ne pas arriver à avancer aussi vite que vous le voudriez dans votre travail instrumental.

Du moins, pas totalement.

Oui, parce que, si vous ne travaillez pas régulièrement,

Ou si vous ne passez que 5 min par jour à vous entraîner, même si c’est tous les jours,

Vous serez d’accord avec moi pour dire que ce n’est pas suffisant.

Mais il y a travailler… et travailler.

Et dans cet article, je vous livre une technique qui me permet, à moi ainsi qu’à tous les musiciens l’ayant testé et s’y étant accommodé,

De progresser à la vitesse de l’éclair en y passant le minimum de temps.

Maintenant, il faut que vous compreniez quelque chose d’important et d’essentiel.

Vous pouvez passer des heures par semaine à retranscrire un morceau qui vous plaît grâce à YouTube,

Sans même savoir la différence entre un degré et un intervalle,

Vous ne travaillerez pas.

Vous pouvez vous mettre à votre instrument et rejouer encore et encore votre morceau du début jusqu’à la fin,

Sans mettre l’accent sur les passages que vous jugez trop compliqués et trop contraignants,

Vous ne travaillerez pas.

Du moins, pas réellement.

Le vrai travail est un travail intelligent, organisé, optimisé pour que vous passiez le moins d’effort pour acquérir un maximum de résultats.

Et le seuil à dépasser est 80% de résultats pour 20% d’éfforts, le 20/80,

Appelé aussi loi de Pareto, une base en productivité indispensable que les plus grands entrepreneurs de ce monde mettent en application à longueur de temps.

Bon mais vous, vous n’êtes peut-être pas entrepreneur, et je ne vous pousserai en aucun cas à adopter leur mode de vie pour la musique, rassurez-vous. Ce taux est donc idyllique.

Rappelons que si vous faites de la musique, c’est sûrement par plaisir (je l’espère pour vous) et c’est votre passion qui est en jeu.

Comprenez simplement que si c’est compliqué pour vous de vous entraîner au minimum 30 min tous les jours,

Vous allez avoir besoin de méthodes de productivité et d’organisation pour que le peu d’efforts que vous ayez à fournir vous apporte un vrai plus,

Et qu’à la fin de chaque séance de travail, vous vous disiez :

« J’ai bien progressé par rapport à il y a une demi-heure ! »

…, et que vous soyez satisfait de vous.

Et après tout, c’est ça, le plus important.

Ce que j’utilise donc, personnellement, pour progresser très rapidement,

C’est le métronome.

J’en suis sûr que vous vous en doutiez un peu, au fond de vous. ?

En fait, le métronome a une vertu que nous n’aurons jamais indéfiniment, nous, êtres humains.

Celle de ne JAMAIS déroger à une règle que l’on lui fixera, la règle de rester fixé sur un tempo et de s’y tenir jusqu’à ce que mort s’en suive.

Enfin, jusqu’à ce que le ressort soit détendu à son maximum ou qu’il n’y ait plus de pile…

Mais bon, avant ça, il va falloir en écouter du battement. ?

L’un des principaux problèmes de l’être humain est qu’il doit fournir beaucoup plus de volonté et avoir plus de motivation

Pour accomplir une tâche qui ne le réjouit pas.

Et dans ces cas-là, la seule solution est d’opter pour un coach privé.

Un coach qui vous dit quoi faire,

Qui ne doit pas être laxiste,

Un coach que vous devez détester et ne plus voir en mille.

Ça, c’est un vrai coach qui vous fera progresser.

D’ailleurs, pour ma part, n’étant pas du tout sportif,

Je sais que j’aurai besoin d’un vrai coach pour m’aider à atteindre mes objectifs.

Un coach qui me suive personnellement et qui me booste dans chaque moment de faiblesse.

Un coach que je détesterai longtemps sur le moment, mais que je pourrai remercier plusieurs années après.

D’ailleurs, c’est dans mes projets. ?

Mais pour revenir sur le métronome, on peut donc dire qu’il remplit parfaitement ce rôle-là.

Il ne vous lâchera pas, même dans les moments où vous voudrez vous arrêter, ralentir ou accélérer.

Non, lui, il restera à 92 à la noire, un point c’est tout.

Best solution ever pour régler les problèmes d’ego et pour se remettre sans cesse en question sur son travail,

Sans avoir à en vouloir à qui que ce soit de vivant. ?

Je vous recommande vivement d’investir dans ce petit objet magique.

Les jours où vous ne savez pas comment vous y prendre pour travailler un morceau,

Calez-vous sur un BPM (Battement Par Minute) et jouez votre morceau.

Vous allez alors pouvoir repérer tous les passages sur lesquels vous hésitez,

Et les retravailler ensuite indépendamment avec un BPM moins rapide.

Maintenant, le problème, c’est qu’il va falloir que vous appreniez à le supporter sur le long terme..

Et même à l’apprécier et à chercher à tout prix à l’avoir à vos côtés !

Oui, c’est peut-être ça le plus dur…

Le jour où ça vous arrivera, alors vous aurez compris une chose que la majorité des musiciens autodidactes refusent de réaliser,

Sous prétexte que ce n’est pas agréable et qu’ils préfèrent se faire plaisir.

Mais après tout, quand on y réfléchit bien,

Ne vaut-il pas mieux se forcer un peu plus au début,

D’adopter ce petit outil plus que pratique (et je dirai même magique !) et de vous familiariser avec,

Pour pouvoir apprendre les morceaux qui vous plaisent le plus rapidement possible (sans pour autant que vous le fassiez mal),

Plutôt que de passer 6 mois (minimum !) sur chacun en n’ayant aucune organisation ?

À vous de voir. ?