Productivité Et Zénitude En Musique

Découvrez dans cet article comment développer productivité et zénitude en musique et retrouvez la motivation qui vous manquait pour avancer !

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   Bonjour et bienvenue dans ce nouvel article traitant du thème « Productivité et zénitude en musique » ! 🙂

   En musique, pour progresser, productivité, zénitude et contrôle de soi sont des notions floues pour beaucoup de gens.

   Quand on veut jouer du piano, de la guitare, de la batterie ou du saxophone, on prend des cours ou on se forme en autodidacte, on apprend la théorie, on répète régulièrement, on s’entraîne à la lecture de notes, de rythmes, on s’ouvre à de nouvelles choses (culture musicale, découverte de nouveaux styles, de nouveaux artistes, initiation à de nouvelles pratiques telles que l’improvisation, la composition, etc.), mais on ne pense JAMAIS au côté émotionnel qui fait que nous sommes des êtres humains.

   Comment voulez-vous progresser si vous pensez que vous devez agir comme un robot ?

  Chacun d’entre nous a des sentiments, des émotions, plus ou moins intenses et plus ou moins contrôlables, et ça fait partie de notre condition humaine.

   C’est comme si vous demandiez à un chien de ne pas aboyer en voyant arriver le facteur le matin.

   Et donc, qu’est-ce que ça signifie ?

   Eh bien, qu’il faut savoir GÉRER ces émotions-là pour savoir mieux progresser.

   Ça peut paraître anodin au premier abord et abstrait, mais la vérité est toute autre… Sans un mauvais contrôle du stress, d’un sentiment de perte de temps, d’une frustration liée à un manque de temps de pratique, à une mauvaise détermination des objectifs, tout peut très vite partir en fumée. La motivation, l’envie, les rêves qu’on rêvait d’attendre, la confiance et l’estime de soi… tout.

   Alors, comment faire pour garder les objectifs en ligne de mire et ne jamais baisser la tête face aux événements de la vie qui sont, de toutes façons, inévitables ?

   ? En augmentant sa productivité… et sa zénitude.

   Et dans cet article, je vous explique comment y remédier en 3 études de cas que vous vivez forcément au quotidien si vous pratiquez la musique.

  Guitariste, pianiste, violoniste, autodidacte, élève en cours privé ou au Conservatoire, débutant ou téméraire, vous serez forcément concerné par ce sujet un jour ou l’autre, si ce n’est déjà le cas.

D’ailleurs, je vous fait un aparté mais… si vous souhaitez enfin comprendre comment fonctionne la musique de A à Z et ainsi vous débarrasser de la vision du solfège comme étant la « bête noire » qui vous empêche d’avancer, je vous propose de télécharger dès maintenant mes livres : L’Essentiel de la Musique au Piano et à la Guitare (mais applicables à n’importe quel instrument) et L’Oreille « Absolue » Pour Tous.

Et grâce à ces livres, vous maîtriserez une bonne fois pour toutes toutes les bases théoriques, vous comprendrez par quels principes il est possible de développer son oreille et vous pourrez, vous aussi par la suite, retrouver n’importe quelle mélodie, n’importe quel accord à l’oreille.

Alors, si l’un de vos objectifs est de pouvoir rejouer toutes les chansons que vous écoutez à l’oreille sans utiliser de partition, renseignez simplement les 2 champs requis et je vous envoie ces 2 livres dans la minute… et gratuitement, s’il vous plaît ! ?

I. PRODUCTIVITÉ ET ZÉNITUDE EN DÉCHIFFRAGE & EN INTERPRÉTATION

   Premier cas, et j’en fais moi-même partie.

  Le parcours à suivre quand on veut avancer dans un domaine, que ce soit la musique ou n’importe quel domaine, c’est d’apprendre, d’assimiler, de répéter et d’automatiser une technique pour devenir bon dans cette technique.

   Apprendre une technique, ça peut se faire très rapidement.

   L’assimiler, ça demande déjà un peu plus de temps. Parfois, il faut regarder le cours plusieurs fois pour bien comprendre la logique, mais ça finit toujours par rentrer au bout d’un moment.

   La répétition et l’automatisation, en revanche, c’est la partie qui est la plus dévastatrice et la cause principale d’abandon chez les musiciens.

   C’est vrai. Répéter quelque chose en boucle, ce n’est pas forcément plaisant.

   On voudrait savoir jouer une musique qui nous plaît, comme ça, d’un coup, mais le chemin pour y parvenir est plus fastidieux qu’il n’y paraît. Et au bout d’un moment, répéter toujours les mêmes notes, ça peut lasser.

   Au final, certains morceaux qui paraissaient simple au premier abord… deviennent de vrais défis à force que les heures de répétition passent.

   Et bien entendu, tout dépend de la façon qu’on répète.

  Si vous bloquez sur les mesures 14 et 15, pourquoi tout recommencer depuis le début à chaque fois que vous arrivez au niveau de ces mesures et que vous vous trompez ?

  Non, reprenez simplement ces 2 mesures-là en boucle, et automatisez-les une bonne fois pour toutes. Une fois que c’est fait, reprenez depuis le début et voyez si vous arrivez à les enchaîner de la même façon. Si vous n’y arrivez pas (ça peut paraître bizarre mais, pourtant, c’est tout à fait normal), alors reprenez maintenant à partir de la mesure 13, puis 12… et reculez jusqu’à arriver à tout rejouer depuis le début.

   C’est ça, la répétition intelligente. C’est d’arriver à construire chacune des traverses de la voie de chemin de fer pour pouvoir poser les rails qui vous mèneront du début jusqu’à la fin sans encombre.

   Et mine de rien, les 30 min que vous aurez consacré à ce travail seront passées comme une lettre à la poste.

   Le problème, c’est qu’on n’a pas forcément 30min pour nous.

   Entre les enfants, les courses, le travail, les problèmes quotidiens et un peu de temps pour soi, on peut ne pas avoir la tête à travailler quelque chose. Et c’est tout à fait normal.

   Par contre, si vous avez décidé de vous mettre à la musique, c’est pour ne pas abandonner. Je me trompe ?

   Dans ce cas, il va vous falloir une méthode de travail adaptée à votre emploi du temps de ministre. Et pour cela, réévaluez simplement votre temps de travail et vos objectifs.

   Si vous partez avec de trop gros objectifs, vous vous attendrez à avoir une productivité qui ne correspondra pas à votre temps de travail disponible, temps qui est propre à chacun.

   Mais en ne parvenant tout simplement pas à suivre ce que vous vous fixez, vous allez vous créer de la frustration après chaque session de travail « inachevée » et détruire le peu de zénitude qui restait en vous.

   Au final, on n’est ni productif, ni zen. On n’a pas du tout avancé, et on est énervé. Et ça a des répercussions sur le reste de la vie personnelle.

   Au lieu de vous dire que vous DEVEZ trouver 30 min tous les jours, ce que vous pouvez ne pas arriver à trouver, assurez-vous plutôt de savoir comment vous pourriez trouver simplement 5 ou 10 min tous les jours, et PAS PLUS.

   Si vous y arrivez, c’est bingo.

   Si vous y arrivez et que vous vous rendez compte que vous auriez pu y passer 10 min de plus, alors essayez d’augmenter votre temps quotidien de travail à 20min, et voyez ce que ça fait sur une semaine, 2 semaines, un mois, etc.

   Si l’approche d’une audition vous stresse, pas de panique. Réévaluez le temps alloué à votre travail pour les prochaines semaines. De toutes façons, une audition signifie forcément un peu plus de travail, et il faut savoir parfois mettre les bouchées doubles pour y arriver.

   Mais dans tous les cas, restez productif de la façon la plus « intelligente » que vous pouvez et, surtout, adoptez un esprit zen.

   La musique, c’est avant tout de la passion, et non du stress. Si vous passez un peu plus de temps, ce n’est pas grave. C’est simplement votre corps qui vous réclame un peu plus sa volonté de s’échapper de tout le stress quotidien environnement… Et surtout pendant les périodes comme celle du Coronavirus…

   D’ailleurs, si jamais vous êtes intéressés pour développer vos capacités de déchiffrage, pour décrypter des morceaux plus rapidement et pouvoir les jouer ensuite avec la meilleure émotion possible, je vous invite à télécharger maintenant mon livre sur les Bases de la Musique au Piano et à la Guitare :

II. L’IMPROVISATION EN TOUTE PRODUCTIVITÉ ET ZÉNITUDE

   L’un des gros problèmes de l’improvisation, lorsqu’on n’est pas guidé par un professeur qui nous suit, c’est qu’on peut vite être amené à tourner en rond.

   On apprend un nouvelle super technique, génial.

  On la répète pendant des heures et des heures sur différents Backing Tracks, et ça sonne d’enfer. Du moins, vous sentez une progression.

   Et puis, très vite, vous vous rendez compte que vous réutilisez encore et toujours la même technique, et ça vous donne l’impression de devenir… nul, il n’y a pas d’autre mot.

   Les jours passent, et à force de jouer, vous ne pouvez vous empêcher de remarquer que de nouvelles techniques d’improvisation seraient les bienvenues.

   Alors, comment faire pour éviter ce sentiment néfaste qui détruit productivité et zénitude  et nuit à la motivation ?

   D’abord, vous pouvez demander à un professeur de vous accompagner pour qu’il vous dise quoi faire, technique après technique, et que le travail ne soit plus qu’à faire sans « vous prendre la tête ».

   Ensuite, vous pouvez vous former sur Internet. De nombreuses vidéos, de nombreux articles et autres contenus (podcasts, emails, canaux Telegram, Instagram, etc.) vous expliqueront quoi travailler, étape après étape.

  Mais si vous recherchez une solution immédiate, alors voici ce que vous préconise d’appliquer dès maintenant :

• Prenez une feuille et notez toutes les techniques d’improvisation que vous connaissez ;

• Faites des paquets de ces techniques (seulement 3 sur les 10 que vous pourriez connaître) ;

• Prenez des Backing Tracks dans des tonalités différentes et travaillez ces 3 techniques en boucle, pendant plusieurs sessions de travail.

• Une fois ancrées et maîtrisées, passez à 3 nouvelles techniques.

• Une fois que vous aurez passé suffisamment de temps à travailler toutes ces techniques, essayez de les rassembler en vous baladant sur les différents octaves de votre instrument, en tentant de ne pas « en mettre partout » mais d’alterner entre phrasés rapides et moments de respiration (ce qui est très important !)

   Par exemple, si je vous prends le cas de la guitare comme je la travaille en improvisation, voici 3 des techniques que je connais et que je pourrais vouloir commencer à travailler dans un premier temps :

• Les Bends Unisson,

• Les Triades sur les 3 cordes aigues montés sur la gamme pentatonique mineure ;

• Les Bends « à la Punk » (par exemple, 7 en bend sur la corde de Sol suivi des cases 5 sur les cordes de Si et de Mi dans un rythme de croches en boucle), comme le fait si bien Billie Joe Armstrong de Green Day.

   Cette technique fonctionne particulièrement bien puisqu’elle puise dans ce que je vous disais plus haut : il faut savoir travailler par étapes et commencer par atteindre de petits objectifs avant de vouloir atteindre directement les cimes.

   Le but : que chacun puisse y consacrer le temps qui lui est nécessaire, même le plus court soit-il, afin d’arriver à jongler entre toutes les techniques d’improvisation. Et si besoin, remonter ce temps de travail en fonction du temps disponible chaque jour.

   Le tout, encore une fois, est de jouer sur la régularité.

  En respectant cette astuce, je peux vous assurer que productivité et zénitude seront au rendez-vous et que frustration et stress seront partis, du moins le temps que vous vous consacrerez à la musique. ?

III. LA COMPOSITION PRODUCTIVE ET ZEN

   D’après vous, et pour rester dans la problématique de la frustration et du stress, qu’est-ce qui provoque ces sentiments lorsqu’on s’attèle à la composition ?

   L’inspiration, bien entendu.

   Aujourd’hui, vous vous levez avec l’envie de créer quelque chose de nouveau.

  Vous empoignez votre guitare, vous vous asseyez devant votre piano, et vous commencez à jouer des suites de notes inspirantes, des accords qui vous paraissent agréables à l’oreille, logiques et dont vous ressentez un certain potentiel pour continuer votre composition.

  Mais au bout d’un moment, c’est la panne sèche.

  Mince. Vous étiez vraiment sur la bonne voie.

   Les minutes s’allongent, vous tournez en rond (encore une fois) et toujours rien ne vient.

  Vous tentez des choses, mais ce n’est pas aussi bien que ce que vous espériez, et vous recommencez tout du début.

   Pire, vous en venez à tout jeter à la poubelle, à reposer votre guitare, à éteindre votre piano, et aller geeker sur Animal Crossing, frustré et triste de ne pas avoir accompli de belles choses jusqu’à la fin.

0 Productivité – Perte de temps 1

0 Zénitude – Frustration & Stress 1

   Peut-être est-ce un scénario un peu « trop stéréotypé ». Peut-être que beaucoup ne réagissent pas comme ça non plus. Et peut-être que certains n’oseront tout simplement pas se lancer dès le début !

   Mais si cette histoire vous rappelle vaguement une expérience personnelle, alors encore une fois, j’ai une solution à vous proposer qui a fonctionné pour moi.

   Même 3 astuces. Oui monsieur.

A. TENTER UNE NOUVELLE APPROCHE DE COMPOSITION

   La première astuce que je peux vous proposer, c’est de tenter carrément une nouvelle approche.

   Gardez ce que vous venez de composer, ne le jetez pas à la poubelle après une si belle première réussite, après une si bonne probable première idée !

   Pour cela, enregistrez ce que vous venez de composer, écrivez-le sur une partition, sur un logiciel, ce que vous voulez… et gardez-le de côté.

   Identifiez simplement les éléments que vous avez pu utiliser pour composer ce premier jet :

  Tonalité, rythme, tempo, accords, intentions de composition (mélancoliques, attaquant, technique, doux, etc.).

   Une fois que vous avez établi que vos accords sont issus d’une tonalité de Sol mineur, que vous avez un morceau plutôt mélancolique avec un tempo Andante (♩ = 60-72), alors essayez maintenant de partir d’un autre endroit.

   Au lieu de vouloir chercher un refrain pour votre couplet, essayez maintenant de composer une mélodie pour accompagner vos accords !

   Pour ça, enregistrez-les une première fois avec votre téléphone ou votre instrument si ce dernier a une fonction « recorder » et faites rejouer cette séquence plusieurs fois.

   Vous savez ensuite que vous êtes en Sol mineur : construisez la gamme correspondante… la gamme de Sol mineur ! Sol – La – Sib – Do – Ré – Mib – Fa – Sol.

   Et maintenant, à vous de faire des combinaisons avec ces notes, de les mélanger dans des ordres différents, avec des rythmiques différents, et voyez ce que vous pourrez en tirer.

   À force de récidive, vous trouverez forcément des extraits qui vous parleront et qui vous pousseront à continuer sur quelque chose de plaisant. De quoi retrouver productivité et zénitude en un rien de temps. ?

B. PRENDRE DU RECUL POUR RETROUVER LA PRODUCTIVITÉ ET LA ZÉNITUDE

   La seconde astuce que je peux vous proposer, c’est de prendre du recul avec ce que vous aurez pu créer.

   Peut-être que ce que je vais vous dire vous paraîtra bizarre, mais… allez prendre une bonne douche, un petit tour aux toilettes, et ne revenez travailler sur votre composition qu’après ça. ?

   Pourquoi ces endroits « intimes » ?

   En fait, quand vous êtes sous la douche et aux toilettes, vous n’avez rien d’autre à faire.. que de vous relaxer. Oui, on va pas se le cacher !

   Et en ne faisant rien d’autre que de penser au moment présent, bon nombre d’idées vont vous venir sans même que vous ayez besoin d’y réfléchir !

   Par expérience, ça m’est arrivé… des dizaines de fois.

   Mais ça fonctionne également si vous faites un trajet en voiture seul.

  Quoi qu’il en soit, dès que vous trouvez une idée de mélodie, une suite d’accords qui pourraient fonctionner, des petits détails qui pourraient, à la fin, rendre votre composition sympa et créative, notez-les absolument sur une note mémo le plus rapidement possible ou enregistrez un mémo vocal pour vous rappeler de la mélodie.

  Vous n’aurez alors plus qu’une envie : le tester au plus vite avec votre instrument en main et voir ce que ça donne.

   Et hop ! La motivation est repartie, avec son lot de productivité assuré pour un certain temps et la zénitude d’avoir accompli quelque chose d’important qui vous tenait à cœur.

C. PIOCHEZ DANS VOS INFLUENCES

  Maintenant, si vous êtes vraiment en panne d’inspiration, essayez de vous inspirer… autrement.

  Comme vous avez identifié le caractère de votre composition, recherchez dans votre mémoire, dans votre bibliothèque audio, sur votre plateforme de streaming… une ou plusieurs musiques qui pourraient vous faire penser à ce que vous avez commencé de composer.

   Vous avez forcément des influences en tête, même inconscientes.

   Servez-vous en.

   Peut-être vous sentirez-vous inspirés par des mélodies ou des accords s’apparentant à ce que vous avez déjà fait.

   Dans ce cas, il ne vous reste plus qu’à compléter ce qu’il vous manque, et encore une fois, à force d’essayer de nouvelles combinaisons de notes, vous allez finir par trouver de nouvelles idées

  Après ça, dites adieu à la frustration, au stress et sentez-vous fier d’avoir fait preuve d’inventivité intelligente en faveur de productivité et de zénitude ! 🙂

  En conclusion, vous aurez remarqué que le sentiment de stress est toujours lié à une frustration de ne pas attendre ses objectifs dans les temps, de tourner en rond ou de ne pas savoir vers quoi s’orienter.

   Pour remédier à ça, quelle que soit la situation que vous rencontrez, n’essayez juste pas d’en faire trop.

  Nos journées ne sont que de 24h, et il est IMPOSSIBLE de faire tout ce qu’on rêverait.

  Il faut donc savoir faire des choix. Mais la bonne nouvelle, c’est que vous pouvez choisir d’abaisser vos objectifs pour pouvoir mieux les attendre, et ainsi allier productivité et zénitude en faisant d’une pierre deux coups.

  Et après tout, on n’atteint pas le haut de l’escalier en sautant d’un seul coup, mais marche après marche.

   Cet article participait au carnaval d’articles lancé par Olivier Roland du blog « Habitudes Zen » sur le thème « Comment être productif au quotidien ». D’ailleurs, cet article pourrait bien vous intéresser pour combattre votre stress, notamment si vous devez le gérer pour jouer en public, que ce soit devant des inconnus ou devant vos amis, votre famille ou votre professeur. 🙂


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   Découvrez également les autres articles dans la même thématique : « Garder La Motivation En Musique», « 10 Erreurs À Éviter En Musique » et « Le Regard Des Autres En Musique ». 🙂

6 Replies to “Productivité Et Zénitude En Musique”

  1. gaelloric dit :

    Merci pour cet article très intéressant ! Bon, la composition et l’improvisation me semblent encore un peu loin, mais en tant qu’autodidacte du piano depuis 3 ans, ça me parle ! Lorsque je bloque sur un passage je me concentre dessus, plutôt que de recommencer inlassablement, ce qui serait épuisant. Et surtout j’ai adopté la méthode des petits pas : mieux vaut 10minutes, voire même 5 minutes tous les jours que d’attendre d’avoir la possibilité de faire une heure de dispo, ce qui parfois n’arrive jamais 🙂 Et petit à petit, 5 minutes après 5 minutes, cela devient une habitude solide !

  2. Vero dit :

    C’est un bon rappel que même les plus grandes montagnes se gravissent un pas à la fois et que chaque petit pas peut être célébré.
    Merci Antoine pour ces astuces simples pour prendre du recul et renouer avec l’inspiration. On oublie si souvent que tout peut être aussi simple qu’une petite pause où l’on prend soin de soi ! ?

  3. ÊTRE ZEN ET PRODUCTIF AU QUOTIDIEN - Habitudes Zen dit :

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  4. Comment être Zen et Productif au quotidien : Les résultats 2020 - Centre METAMORPHOSE dit :

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