Bienvenue dans ce nouvel article traitant du thème « La gamme mineure Naturelle » !
Bienvenue sur cet article consacré à l’étude du mode mineur, et plus spécifiquement des différentes gammes mineures. En effet, en musique, il existe des modes qui nous permettent de jouer sur les tensions, les résolutions et les couleurs de gamme.
Eh bien, devinez quoi ? La gamme mineure – ou plutôt la gamme issue du mode mineur – en est un parfait exemple ! C’est pourquoi j’ai décidé de voir avec vous les différents types de gammes mineures qui existent, leur construction, leur utilisation ainsi que leurs particularités. De façon assez subjective, on peut dire que la gamme Majeure est associée à une gamme « joyeuse » tandis que la gamme mineure fera paraître un sentiment plus mélancolique, plus nostalgique… Plus triste, quoi !
Mais, avant toute chose, je vous préviens d’avance que nous allons parler de degrés, d’intervalles, d’altérations et de gamme Majeure. De ce fait, si vous ne maîtrisez pas totalement ces notions, je vous recommande fortement de télécharger mon guide des Bases de la Musique au Piano et à la Guitare – si vous ne l’avez toujours pas fait ! – qui vous permettra d’être à jour et de mieux comprendre – et d’apprécier ! – ce que je vais vous expliquer dans cet article.
Et en prime, vous recevrez également mon autre livre : « L’Oreille « Absolue » pour tous » qui vous expliquera comment apprendre à développer votre oreille pour vous permettre de déchiffrer, d’improviser et de composer plus facilement. Pour recevoir ces 2 eBooks immédiatement dans votre boîte mail, il vous suffit de remplir les champs renseignés :
I. RAPPEL DE NOTIONS SUR LA GAMME MAJEURE
A. LA GAMME MAJEURE & SES DEGRÉS
Avant de commencer à vous parler de gamme mineure, revenons un peu sur la gamme… Majeure ! Oui oui, vous avez bien lu, la gamme Majeure.
Pourquoi ? Eh bien, tout simplement parce que, dans la musique tonale, qui constitue notre système musical actuel, la gamme Majeure est la gamme « par défaut » qui sert de référence pour construire n’importe quelle autre gamme.
Ainsi, et pour rester le plus simple au possible, penchons-nous sur une gamme Majeure en particulier qui ne comporte aucune altération à son armure – aucun dièse ni aucun bémol à la clé – et que vous connaissez TOUUUUS depuis la nuit des temps… J’ai nommé : la Gamme de Do Majeur !
Euh… ? Je crois connaître, mais je suis pas sûr… Do MAJEUR, ça veut dire quoi déjà ?
Bon, alors je refais un petit topo.
Une gamme est un assemblage de 7 notes différentes consécutives dont la première note n’est autre que celle donnant son nom à cette gamme. Par exemple, la gamme de Do Majeur commencera par un Do et sera constituée des 7 notes suivantes :
Ah mais oui, je la connais celle-là !!
Ahah, vous voyez que vous la connaissez !
En réalité, une gamme est constituée de 7 notes différentes, mais on peut rajouter une 8ème note qui sera simplement la même que la première mais à l’octave supérieure. On peut donc dire qu’une gamme de Do – pour garder notre exemple – commencera et finira par un Do. Simplissime, n’est-ce pas ?
Maintenant, vous le savez peut-être déjà – notamment si vous avez déjà lu mon guide – mais il existe un nom pour chacune de ces notes au sein de la gamme de Do Majeur. En effet, si l’on assigne ces 7 notes à un chiffre romain en partant du Do, voici ce que l’on obtient :
Voilà ! Le Do sera le 1er degré, le Ré le 2nd degré, le Sol le 5ème degré, etc.
De plus, afin de pouvoir encore mieux identifier ces différents degrés, chacun d’entre eux possèdent un petit nom ! Les voici :
Cela vous nous être très utile pour comprendre la gamme mineure naturelle !
Alors, vous me direz :
Mais pourquoi s’embêter avec des chiffres – romains, qui plus est ! – et des noms à coucher dehors ?
Alors, pour les noms, il s’agit simplement d’une convention, comme il en existe pour toute chose de ce monde. Mais si vous êtes assez avancé sur le sujet, vous reconnaîtrez les noms de tonique et de dominante pour le Ier et le Vème degré, qui sont les pionniers de l’harmonie lorsque l’on veut réaliser des demi-cadences et des cadences parfaites avec, ou non, l’utilisation d’accords de 7ème de dominante – pour reprendre le nom de ce Vème degré. De plus, l’utilisation du mot « sensible » pour la note sensible évoque une note qui porte une responsabilité de tension et qu’il faut résoudre, justement, par l’utilisation de cadences parfaites grâce à des accords de 7ème de dominante.
Si vous avez tout compris à ce charabia, c’est que vous avez un excellent niveau en théorie musicale, et notamment en harmonie, donc félicitations ! En revanche, si vous avez eu l’impression que je vous ai parlé marsien en lisant ces quelques lignes… eh bien ne désespérez pas ! Il s’agit d’un sujet assez complexe qui nécessite de solides connaissances en solfège mais dont vous pouvez être tout à fait capable d’assimiler avec du temps et de l’entraînement.
En tout cas, bien que ces noms ne vous évoquent rien, la notion de degré est importante. En effet, chaque note de la gamme ne se caractérisera plus simplement par son simple nom mais également par son nom de degré !
L’utilité de ça réside dans un fait tout simple. Que représente pour vous la note Mi ? A priori, c’est un Mi, rien de plus… Et vous avez raison ! Mais, en fonction de la gamme dans laquelle il est joué, il n’aura pas la même place !
Par exemple, dans une gamme de Do, le Mi sera situé à la 3ème place, sur le IIIème degré, d’où son nom de Médiante.
Maintenant, si l’on se réfère à une gamme de Sol, le Mi sera à la 6ème place, soit sur le VIème degré, d’où son nom de Sus-Dominante.
Et c’est sur cette « simple » règle que se construit tout le système tonal que l’on connaît – consciemment ou inconsciemment – et qui nous permet d’utiliser, par la suite, la notion d’armure et de tonalité. Vous pouvez d’ailleurs consulter ce sujet via ce lien : Armure & Tonalité : le Guide Complet.
Mais tout de suite, analysons de plus près cette gamme Majeure… ou tout du moins, les différents intervalles que l’on peut y trouver !
B. LES INTERVALLES DANS UNE GAMME MAJEURE
Si l’on reprend notre gamme de Do Majeur et qu’on l’annote des différents degrés, la voici de plus belle :
Si l’on imagine cette gamme sur un clavier de piano, on obtient ceci :
Maintenant, vous devez sûrement savoir ce qu’est un demi-ton… Non ? Voyons ça de suite alors. 😉
Un demi-ton, comme la tierce, la quinte ou l’octave, est un intervalle, soit une distance d’une note à une autre note.
Or, le demi-ton est en quelque sorte l’unité utilisée pour calculer les différents intervalles, ce qui le caractérise comme étant le plus petit intervalle que l’on peut trouver sur un clavier de piano. Deux notes séparées d’un demi-ton seront donc deux notes qui seront strictement consécutives sur le clavier, comme le sont une touche noire et une touche blanche, par exemple :
Et ce qui est génial, c’est que le demi-ton s’utilise partout, que ce soit pour la gamme Majeure ou pour la gamme mineure naturelle !
Ainsi, lorsque l’on calculera la distance entre deux touches blanches, comme le Ré et le Mi par exemple, on calculera d’abord la distance Ré-Ré# puis la distance Ré#-Mi, soit 2 demi-tons… ce qui nous donnera un ton !
Mais non, celui-là il s’écrit avec un h…
Néanmoins, lorsque l’on regarde le Mi et le Fa, on se rend compte également que ces deux notes sont strictement consécutives, puisqu’aucune touche noire ne vient s’immiscer entre elles. Dans ce cas-là, l’intervalle Mi-Fa ne sera alors pas un ton mais bien un simple demi-ton !
Il existe d’ailleurs un autre demi-ton entre deux touches blanches : il s’agit de l’intervalle Si-Do puisque, encore une fois, aucune touche noire n’est présente entre ces deux notes. Ces demi-tons sont alors ce que l’on appelle des demi-tons naturels.
Ainsi, pour revenir à notre gamme de Do Majeure, on remarquera qu’il y aura un ton entre le Do et le Ré, un ton entre le Ré et le Mi, un demi-ton entre le Mi et le Fa, un ton entre le Fa et le Sol, le Sol et le La et le La et le Si et enfin un dernier demi-ton entre le Si et le Do… Oui, je suis assez d’accord, ce n’est pas très digeste en mode texte… Voilà qui devrait être plus clair ! 😉
Si l’on ne prend que les numéros des degrés et les demi-tons, voici ce que l’on obtient :
Eh bien, vous savez maintenant que TOUTES les gammes Majeures seront configurées de cette façon, qu’il s’agisse de la gamme de Do Majeur, Mi Majeur, Lab Majeur ou Fa# Majeur, etc. 😉
Pour en savoir plus, je vous ramène une fois de plus sur l’article : Armure & Tonalité : le Guide Complet qui vous expliquera comment passer d’une gamme à l’autre en rajoutant les bonnes altérations… Une vraie mine d’or d’informations ! 😉
II. LE MODE MINEUR NATUREL
Après cette looooongue introduction sur la gamme Majeure, rentrons dans le vif du sujet et voyons maintenant à quoi ça va nous servir pour la gamme mineure naturelle au piano !
A. L’UTILISATION DE LA GAMME MINEURE NATURELLE
La gamme mineure naturelle est la plus commune des 3 gammes mineures existantes puisqu’on la retrouve aujourd’hui dans 95% des musiques qui passent à la radio, rien que ça. Par abus de langage, elle est tellement utilisée qu’on l’appelle simplement la « gamme mineure » pour évoquer la gamme mineure naturelle.
B. AGENCEMENT DE LA GAMME MINEURE NATURELLE
Si je vous ai fait tout un pavé sur la gamme Majeure, c’est bien que cela avait un intérêt… En effet, la gamme Majeure et la gamme mineure naturelle sont intimement liées… Ouh les coquines…
Comme je l’explique très bien dans mon guide, une gamme Majeure possèdera toujours une gamme mineure à laquelle elle sera liée et sera dite « relative ». Dans le sens inverse, toute gamme mineure naturelle possèdera elle aussi une gamme Majeure relative à laquelle elle sera liée.
Pour passer d’une gamme Majeure à sa gamme mineure relative, il suffira simplement d’abaisser d’une tierce mineure – soit de 3 demi-tons – la tonique de la gamme Majeure. Par exemple, pour trouver la gamme mineure relative à la gamme de Do Majeur, il faudra trouver la note située à une tierce mineure en-dessous du Do… soit le La !
La gamme mineure relative à la gamme de Do Majeur sera donc la gamme de La mineur. D’ailleurs, si l’on compare ces 2 gammes, on remarque comme une certaine similarité…
En effet, toutes les notes des gammes de Do Majeur et de La mineur sont des notes non altérées ! Ainsi, si on devait se baser sur la gamme de Do Majeur pour construire la gamme de La mineur, on obtiendrait ceci :
C’est pour cette raison que les gammes sont dites relatives ! On peut comprendre que la gamme de La mineur aura comme tonique – le Ier degré – la sus-dominante – le VIème degré – de la gamme de Do Majeur. D’ailleurs, en musique, lorsque l’on construit une gamme en partant d’une autre note que la tonique de la gamme originale, on construit ce que l’on appelle un mode. Il existe donc un mode différent pour chaque degré existant dans chaque gamme… Ça fait beaucoup ! Mais bon, d’une gamme à l’autre, et tout comme pour les degrés, il n’existe que 7 « noms » ou appellations de modes.
En l’occurrence, la gamme mineure naturelle est l’utilisation du mode de degré VI, puisque construite à partir du VIème degré de la gamme Majeure. Ce mode sera donc appelé le « mode 6 », ou plus communément le « mode mineur ». Mais, si vous souhaitez briller en société autour de la machine à café, je vous recommande d’appeler ça le « mode æolien » prononcé [éolien].
Ainsi, tout comme la gamme de Do Majeur sert de référence aux gammes Majeures, la gamme de La mineur sera notre nouvelle référence en ce qui concerne les gammes mineures !
Analysons donc cette gamme et essayons de repérer l’emplacement de tous les tons et demi-tons, comme on l’a fait plus haut avec la Gamme Majeure :
Cette fois, vous pouvez remarquer que le degré n°1 – la tonique, pour ceux qui suivent – sera le La et non plus le Do ! Logique, puisque nous sommes cette fois-ci dans une gamme de La et non plus une gamme de Do. Et vous noterez que, quelle que soit la nature de la gamme – Majeure ou mineure, la première note de la gamme étudiée sera toujours la tonique !
Allez, assez tourné autour du pot, voyons l’emplacement des demi-tons dans cette gamme de La mineur !
Maintenant, rappelez-vous : comme je vous l’ai dit plus haut, l’organisation des demi-tons au sein de la gamme de Do Majeur sera la même que dans toute autre gamme Majeure. Eh bien, devinez quoi ? C’est le même principe pour la gamme mineure ! Quelle perspicacité, vous êtes des chefs !
Ainsi, notre structure… que voici :
… sera la même pour toutes les autres gammes mineures naturelles !
Essayons par exemple de construire la gamme de Fa mineur… Si si, allez ! Un peu de motivation !… Bon, je vais vous mâcher le travail, vous allez voir…
Si nous prenons notre gamme de Fa mineur en utilisant des intervalles naturels, voici ce que l’on obtient :
Maintenant, calculons les différents intervalles que l’on a entre chacune des notes :
Or pour rappel, notre structure doit ressembler à ça :
On va donc rectifier le tir en ajoutant aux bons endroits les bonnes altérations :
• Fa – Sol est un ton : on n’a pas besoin de modifier ;
• Sol – La est un ton alors qu’il devrait être un demi-ton : on rajoute donc un bémol sur le La pour obtenir Sol – Lab qui est, cette fois, un demi-ton ;
• En repartant du Lab, Lab – Si est un intervalle de seconde augmentée, donc constituée d’un ton et demi et non d’un ton comme on le voudrait : on va transformer le Si en Sib pour obtenir Lab – Sib ;
• Ensuite, Sib – Do est bel et bien un ton (Sib – Si est un demi-ton et Si – Do en est un également puisque c’est l’un de nos deux demi-tons naturels), donc on ne touche à rien ;
• Do – Ré est un ton alors que nous voulions un demi-ton : on transforme le Ré en Réb pour obtenir Do – Réb ;
• Réb – Mi est, une fois encore, un intervalle de seconde augmentée constituée de 3 demi-tons, alors que nous ne voulions que 2 demi-tons (pour faire un ton). On va donc altérer le Mi en Mib pour obtenir Réb – Mib ;
• Enfin, si tous nos calculs sont bons, on doit pouvoir retomber sur un intervalle Mib – Fa qui est un ton comme dans notre gamme mineure de référence… Ce qui est en effet le cas ! Ouf, sauvés…
Eh bien, il me semble que les félicitations sont de rigueur pour avoir réussi cet exercice avec brio !
En tout cas, notre gamme naturelle de Fa mineur se construira de cette façon :
Et tada ! Vous êtes devenu un maître en la matière et vous maîtrisez dorénavant la gamme mineure naturelle !
Une fois encore, si vous ne souhaitez pas calculer « à la main » l’emplacement des demi-tons pour chaque gamme mineure, je vous propose 2 choses :
• Téléchargez mon guide au sein duquel vous trouverez un tableau complet qui récapitule les associations des gammes relatives Majeures / mineures et le nombre de dièses ou de bémols présents dans chacune d’entre elles.
• Accédez dès maintenant à l’article Trouver La Tonalité d’Un Morceau qui vous expliquera comment comprendre ce tableau et à la fin duquel je vous propose de télécharger librement le Cycle des Quintes, élément essentiel pour comprendre ces notions d’armures et pour retrouver immédiatement l’emplacement des demi-tons de chaque gamme, Majeures comme mineures. C’est pas merveilleux, tout ça ?
III. QUELQUES EXEMPLES D’UTILISATION DE LA GAMME MINEURE NATURELLE
Voici maintenant 5 exemples de morceaux utilisant la gamme mineure et que vous pourrez aisément reconnaître à l’oreille. Et si vous n’y arrivez pas, eh bien ceci sera alors le premier pas vers votre travail de l’oreille relative.
P.S. : D’ailleurs, peut-être cela vous intéresserait-il de savoir reconnaître les accords d’un morceau à l’oreille ou de reproduire les mélodies, les solos, etc. … en guitare comme au piano ou sur n’importe quel autre instrument ? Si c’est le cas, n’hésitez pas à m’en faire part en commentaire ! Mais, en attendant, voici les 5 exemples que je vous ai promis pour que vous puissiez commencer à faire travailler votre oreille dès maintenant !
Je vous mets les liens directs des vidéos originales, d’une part, ainsi que les différents minutages de la vidéo dans laquelle je vous joue les passages des morceaux au piano. De cette façon, vous distinguerez encore mieux l’utilisation de la gamme mineure naturelle.
Voilà, j’espère que cet article sur la gamme mineure naturelle vous aura plu. Pour découvrir la seconde partie de l’article consacrée à l’étude de la gamme mineure harmonique, vous pouvez le faire en cliquant sur le bouton ci-dessous !
Bonne continuation de lecture à tous !
Vous pouvez également télécharger cet article en PDF pour le consulter où vous voulez et quand vous le souhaitez ! 🙂 Pour cela, cliquez simplement sur ce lien :
👉 Cliquez ici pour recevoir le PDF de l’article !
Vous pouvez également visionner la vidéo récapitulative sur les Gammes Majeures et mineures :
Super article , parfaitement expliqué. Merci… Ça en fait des process à intégrer … !
C’est sûr, ça fait beaucoup de choses à savoir mais il faut y aller progressivement et ne pas hésiter à tout relire plusieurs fois ! Merci pour ton retour en tout cas 🙂
Bel article clair. Débutant au piano je connaissais cependant déjà pas mal de choses expliquées ici. Mais grâce à lui (l’article) je viens de comprendre ce qu’étaient ces modes qui m’ont toujours parus hors d’atteinte. Merci, jeune homme. On se reverra sûrement.
Avec plaisir. 🙂 Un article plus approfondi sur les modes paraîtra par la suite ! 😉
Bonjour,
Article très instructif…mais il me semble que le 3ème extrait « Muse Feeling Good » ne correspond pas.
Merci pour le correctif, à moins que je ne me trompe…
Cordialement,
Daniel
Ah tu trouves que c’est quoi qui ne correspond pas ? Il ne rentre pas dans les gammes mineures naturelles ou alors mon extrait de piano n’est pas dans la bonne tonalité ?
Re bonjour,
Je continue d’apprécier cet article, et je me suis rendu compte que ma remarque ci-dessus, était nulle et non avenu. Mille excuses pour ledit commentaire…
Cordialement,
Daniel
Pas de problème, j’étais plutôt sûr de moi sur ce coup-là ! 😁 En tout cas, ton retour est toujours le bienvenue ! 😉
[…] Voilà, ce dossier sur les gammes mineures harmoniques est bouclé ! J’espère qu’il vous aura été utile. 🙂 N’oubliez pas que vous pouvez retrouver la première partie du mode mineur consacré aux gammes mineures naturelles en cliquant ici. […]
[…] ACCÉDER À LA PREMIÈRE PARTIE 😋 ACCÉDER À LA SECONDE PARTIE 😋 ACCÉDER À LA PREMIÈRE PARTIE 😋 ACCÉDER À LA SECONDE PARTIE 😋 […]
[…] existe plein d’autres styles de gammes que la gamme Majeure, telles que les gammes mineures – naturelles, harmoniques, mélodiques ascendantes et descendantes, la gamme blues ou la gamme pentatonique, par […]
[…] Encore une fois, j’ai fait un dossier complet sur les 3 types de gammes mineures qui existent pour expliquer comment les construire en partant de la gamme Majeure. Vous pouvez consulter l’article sur la 1ère gamme mineure par ici. […]
[…] DÉCOUVRIR L'ARTICLE 🙂 DÉCOUVRIR L'ARTICLE 🙂 […]